Dans cette affaire, le juge d’instruction et le procureur de la République avaient requis la détention provisoire, c’est-à-dire l’emprisonnement du mis en examen durant le déroulement de l’instruction pour agressions sexuelles.
Le juge des libertés et de la détention a entendu les arguments développés par Maître Ophélie Acthergal et a finalement décidé de ne pas placer son client en détention provisoire mais de l’astreindre à des interdictions et obligations dans le cadre d’un contrôle judiciaire. Le mis en examen, toujours présumé innocent, n’a donc pas été privé de sa liberté !